En France, un professionnel sur quatre envisage de fonder son entreprise (source : bpi-france.fr). Et justement, il se trouve que vous en faites partie... Assoiffé de liberté, vous aspirez à démissionner de votre CDI pour devenir entrepreneur. Le hic, c'est que la création et la gestion d'un business sont un mystère pour vous. Pire encore : vous n'avez aucune idée du régime juridique qui sied le mieux à vos besoins.
À force de recherches, vous avez découvert qu'il est possible d'entreprendre soit en tant que freelance, soit en tant que salarié porté. Et là encore, votre cœur balance : freelance ou portage salarial, lequel de ces statuts choisir ? Heureusement que les experts de TimPortage ne sont jamais bien loin.
Pour décider qui du freelance ou du salarié porté est le mieux nanti, encore faut-il avoir une idée précise de leurs natures réelles. Dans les faits, que signifie exactement être freelance ? De même, que se cache-t-il derrière l'expression de portage salarial ?
Le terme "freelance" est un anglicisme créé par Sir Walter Scott pour désigner une personne qui exerce une activité libérale. Souvent utilisé comme un synonyme de "travailler indépendant" ou "d'entrepreneur", il ne fait pas référence à un statut juridique à proprement parler.
En effet, un freelance peut exercer sous différents régimes juridiques. Par exemple, un prestataire informatique peut craquer pour la facilité de gestion offerte par le statut de micro-entrepreneur. S'il désire scinder ses actifs personnels des biens de l'entreprise, il se laissera séduire par une Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL).
Bien évidemment, ce ne sont que quelques exemples. En fonction de ses objectifs financiers et de ses capacités de gestionnaire, un freelance optera pour une EURL, une Entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL), etc. Seul son bon vouloir compte.
Le portage salarial est une relation tripartite faisant intervenir un prestataire, une société comme TimPortage et un client.
Légalement, le professionnel est sous contrat avec la société de portage. En foi de quoi, il n'a pas à s'immatriculer en tant qu’auto-entrepreneur, acquérir un numéro SIRET ou toutes autres procédures administratives. Il se contente d'apposer sa signature en bas d'un document et le voilà libre d'utiliser les informations juridiques (SIRET, n° de TVA, SIREN, etc.) d'une compagnie dûment enregistrée.
En échange de ce service, la société de portage perçoit une commission sur tous les contrats apportés et réalisés par le salarié porté. Et du côté du client, le portage salarial offre la garantie d'avoir des factures en bonne et due forme.
Petite précision : le portage salarial est 100 % légal.
Techniquement, aussi bien le freelance que le salarié peuvent exercer librement. Ils fixent leurs propres tarifs et choisissent leurs clients. Toutefois, ce serait une erreur grossière de penser qu'ils sont interchangeables.
Première différence : l'accessibilité. Alors que tout le monde peut créer son entreprise et arborer la casquette de freelance, le portage salarial est plus restreint.
Ce qu'il faut savoir, c'est que les sociétés de portage salarial telles que TimPortage sont tenues de n'exercer que cette activité. En foi de quoi, elles se montrent plus exigeantes envers leurs partenaires. Concrètement, ne peut bénéficier du portage salarial que celui qui remplit les critères ci-dessous :
Dans les faits, c'est l'entreprise de portage salarial qui établit ses propres critères. Certaines exigeront d'avoir un BAC+5 et plusieurs années d'expérience tandis que d'autres, comme TimPortage, ouvrent leurs portes à tous les métiers éligibles au portage salarial après analyse de votre projet.
C'est le gros avantage du portage salarial. Alors que le freelance ne dispose d'aucun filet de sécurité, le portage salarial permet à ses adeptes de bénéficier d'une assurance complète. Prise en charge des frais médicaux, complémentaire santé, cotisation retraite, ... Le salarié porté bénéficie de tous ses avantages.
Par ailleurs, le portage salarial peut être cumulé avec d'autres situations professionnelles telles que la retraite, un CDI ou les allocations chômage.
Encore un point pour le portage salarial.
En moyenne, un entrepreneur perd 142 jours à effectuer des tâches administratives (source : sage.com). Facturation, encaissement, paiement des impôts, ... Bien qu'obligatoires, ces tâches peuvent représenter un frein à la productivité des travailleurs indépendants. Étant donné que la société de portage salarial accomplit toutes ces opérations, le professionnel peut se concentrer sur le cœur de son activité.
Pour entreprendre en toute sécurité, il est préférable d'opter pour le portage salarial. Ainsi, alors même que vous bâtissez encore votre base de données clients, vous bénéficierez de revenus fixes et d'une couverture sociale. Contactez TimPortage et démarrez votre activité entrepreneuriale en étant serein.